Au pied de la Villa, un chemin serpente entre les sapins et descend le long de pentes abruptes.
Au fond de la vallée brille une langue blanche qui semble immobile au soleil.
Le monstre glacé semble dormir. Il ressemble à une grosse baleine blanche et transparente.
Pourtant une eau turquoise se déverse lentement.
Lio a mis ses crampons et maintenant il marche, il frôle les joues gonflées de la Bête.
La Bête le reconnaît. Elle frémit à son approche et émet une plainte douce.
Il sort sa flûte de sa poche et lui répond.